Etape 1 – Oeil, Nez, Bouche… Comment ça marche ?
Œil, nez, bouche, comment ça marche ?
Dans l’analyse d’une boisson ou d’un aliment, il y a participation globale de la vue, de l’odorat et du goût. Ces informations s’influencent réciproquement et s’associent pour créer une image sensorielle transmise au cerveau.
Ainsi il n’y a pas de hiérarchie entre voir, sentir et goûter et chaque individu a sa propre façon de voir, sentir, goûter et d’associer les trois.
Déguster est ainsi une façon toujours très personnelle de traduire une émotion.
Pour bien parler du vin, il faut reconnaître des sensations et pour reconnaître celles-ci il faut tout d’abord les connaître.
Cet apprentissage est donc une affaire de temps :
- le temps de l’initiation
- le temps des exercices répétés
- le temps de l’entretien des dispositions acquises
Avoir l’esprit clair
On considère qu’il existe deux types de dégustation : la dégustation hédoniste et la dégustation descriptive.
😋La dégustation hédoniste fait référence au plaisir.
➡ Le vin est immédiatement jugé bon ou pas. C’est la dégustation du consommateur, qui n’a pas besoin de se justifier. Elle est exclusivement subjective.
🧐La dégustation descriptive fait référence à l’analyse des vins.
➡ Elle permet de choisir, de hiérarchiser et d’argumenter son jugement en fonction de critères tels que la qualité, la typicité ou le potentiel du vin. C’est l’approche des professionnels et des grands amateurs. Elle aimerait être objective.
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